Arrivée au Petit Garros un peu intense. Je dis bonjour à Jean-Charles qui m’accueille très chaleureusement dans sa maison d’hôte ultra charmante. La maison est au bout d’un chemin sinueux, perdue au milieu des vignes, et bordée par la Dordogne, un fleuve grandiose. Sa maison étant dans une zone inondable – 0 m² sont constructibles ce qui lui assure qu’il sera tranquille pendant encore un bon moment. Même si tout est inondé, il a préparé les réserves et le nécessaire à l’étage et le bateau gonflable pour se balader – beaucoup de fenêtres pouvant servir de portes. La dernière inondation remonte à 1934. De plus, la maison a près de deux siècles et il fut un temps où elle n’était qu’une masure délabrée. Difficile de s’imaginer ça aujourd’hui, où cette maison que Jean-Charles et sa femme ont refait avec très bon goût, est un lieu où on a juste envie de se balader, faire un plouf dans la piscine et s’installer dans le salon avec le piano à queue pour lire son livre (ou écrire son blog!) avec un fond de musique classique. Le bonheur total.
J’ai eu la chance de dormir dans la chambre jaune – où l’on m’a assuré qu’il n’y avait pas de mystère. Et j’avais une robe de chambre jaune avec laquelle j’avais vraiment le style, et ça c’était cool. J’ai dû tristement la retirer pour aller manger au restaurant ‘Au Bord de l’Eau’, au bord de la Garonne également, un petit cake de chèvre et poireaux avec son sac de couchage de saumon délectable de Norvège et son coulis de hamburger. Bref, très bon. Lendemain matin, lever à 6h45 avec un petit déjeuner délicieux et riche en confitures qui m’attendait 🙂